12 mai 2007
30 octobre 2006.
Déchéance.
Je caresse du bout des doigts mes grotesques cicatrices, dessiner par ma folie acéré. Le regard dérisoire. Plus rien n'a d'importance. Je suis perdu, entouré des confettis de mon coeur broyé. Aucune chance de retrouver la reconstitution exacte - Le coeur restera abîmé pour toujours. Comme le corps restera marqué par ma folie malsaine. Je ne mérite aucune compassion, seulement du mépris. Je ne suis qu'une chose écœurante qui se laisse moisir. Ou mourir. Peu importe, je me moque de la Vie. Et je continue à aimer mon exquise érosion. Point
Publicité
Publicité
Commentaires