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Exquisite Corpse.

Exquisite Corpse.
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Exquisite Corpse.
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27 janvier 2008

« Donnez un but précis à la vie : elle perd

« Donnez un but précis à la vie : elle perd instantanément son attrait. » Cioran

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22 janvier 2008

Imitation du bonheur.

Déchirement d'amour face à la réalité.
Fuir toujours plus, pour disparaître de lâcheté.
Lassitude d'une vie a reculons face au vide de ses mirages.

3 décembre 2007

Et puis.

"Moi je veux du nucléaire

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Je veux du sexe et du sang..."

2 décembre 2007

Accusée.

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En cours. Attente douloureuse. Incertitude. Et peur... Je t'en supplie accepte moi. Répond à ma faiblesse face à l'amour. Obscure beauté d'un cœur, que j'irai brûler pour réduire le péché. Oh j'aime. Et je haie mettre laisser empoissée par cette déchéance amouristique. En total soumission.

Pitié, tue-moi. Avant que je ne te tue.

1 décembre 2007

Tangible.

Mon infinie, je ne suis rien sans toi. O douce et macabre tu me tues à chaque instant, délicieuse douleur immortel sur ma raison et mon âme. L'être sombre, le coeur meurt. J'attirais. J'aimerai. Jamais. Et puis. Silence. Beauté de la souffrance ultime sur le tableau exposé a même sa peau par ses blessures funeste. Mots. Sanglots. Vomissure par germe de larmes de honte. Froid. Gel. Glace. Transformation du temps néfaste vers le Vide. La Faille. Le Néant. L'invisible beauté du Rien qui forme la gerçure d'un corps entier.

Mon amour, ma passionnée, ma Folie.

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9 novembre 2007

04 juin 2007.

La petite conne pourrie dans sa chambre. Deux mois qu'elle déambule dans ces couloirs morose, et pourtant rien ne change. La folie, sa seule amie, et encrée au plus profond  de l'être - pour toujours. C'est ainsi, elle si est fait. Elle n'espère plus. C'est bien trop immature. Elle n'aime plus. C'est bien trop pathétique. La névropathe ne se contente que de très peu. Une lame suffit pour la combler. Elle s'amusera à la faire danser sur sa peau pale. Meurtrissure du corps sous sa haine acéré. L'hystérique ne sait faire plus que ça. Bonne a rien, il faudrait la jeter dans un fossé pour que les asticots puissent bouffer son coeur moisi. Mais personne n'est là pour avoir cette idée brillante. Les autres continu à croire qu'elle se rétablira. Futilités. Le cadavre le sait bien elle, que tout est fini. La folie restera on compagnon le plus fidèle. La décadence au bout des lèvres...

Les maux cachent les mots.

9 novembre 2007

11 janvier 2007.

Elle fait danser la lame le long de son bras. Seul le bruit sourd de la chair entaillée accompagne le silence de la mélodie, où cadence l'objet de perversion. Le sang gicle. Offrant l'intensité opportun a ce ballet macabre. Des perles dégoulinent sur ses joues blanches. Elle a reçu les résultats de sa prise de sang, et le verdict est mauvais. Elle n'est rien. Juste un cadavre en décomposition. Qui aimerait être jeté puis oublier. Mais voilà, des gens l'aiment. Ce qu'elle ne supporte plus - Ne m'héritant aucune affection. Elle ne veut pas guérir. Ne rêvant que de destructions cataclysmiques de l'être, et de torture de l'âme, elle ne veut que mourir. Elle a choisi son suicide. Lent et douloureux - par ce qu'elle doit certainement être masochiste. Digne d'une Folle Névropathe Hystérique. Oh, mais quelle égoïste !

9 novembre 2007

27 décembre 2006.

[Détérioration de l'âme.]

[Dépérissement du Corps.]

[Hystérie silencieuse.]

 

Les 18 jours d'hospitalisation non rien changé.

Je suis [Et je resterais.] la même Névrosé. 

La Folie sous ma peau.

9 novembre 2007

16 novembre 2006.

Une âme s’évade. Le cœur qui sombre. Un corps disloqué.

Je suis morte.

9 novembre 2007

13 novembre 2006.

De fines perles s'échappent de mes abominations. Les gouttes de sang ruissellent, marquant ma peau pâle d'une couleur pourpre. Je les laisse divaguer et s'amuser a égoutté sur les carreaux. Je suis spectatrice de mon carnage. Et j'en ris. D'un rire sombrement triste. Et j'en pleure. Alors à leurs tours, des larmes danseront sur mon visage. Peu importe, plus rien n'a d'importance : Je suis morte. Le coeur déchiré. L'Ame en perdition. Il ne me reste que mon corps écorché. Et il ne sera plus. Je le ferais disparaître sous ma haine folle. La déraison au bout des lèvres.

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