22 août 2006.

My silent undoing.

Tu n'es qu'une petite idiote. Qui ne fait que couiner. Et encore et encore. Mais tu vas t'arrêter bordel. Sale môme. Ferme là un peu avec tes souffrances imaginaires. Tu es folle. Et tu le sais. Arrête, putain mais arrête maintenant. Regarde ce que tu as fait. Regarde ! Bien sûre oui, va y pleures. Tu ne sais faire que ça. Pleurer toujours un peu plus sur ton triste sort. Mais ouvres les yeux : Tout est de ta faute. Tu le sais. Alors cesse de jouer l'enfant martyr. Tu n'es qu'un beau mensonge a toi toute seule. Tu peux enfoncer la lame dans ta peau. Vas y, je sais à quel point tu aimes ça. Frotte, racle, coupe, déchire la chair. Et met s'y un peu plus de haine, de violence s'il te plait. Oui, voilà qui est mieux. Regarde maintenant. Le cratère. Tu lâches la lame. Tu a peur, n'est ce pas ? Arrête avec ces mouchoirs. Regarde et laisse couler le sang, après tout, tu l'a fait s'échapper. Assume maintenant. En plus, tu as un bonus : Les boules de graisses. Verdict : C'est un gouffre, où tu vois très distinctement ta graisse.  [Celle que tu hais tant.] C'est vraiment moche. Et écœurant, tu sais. Et puis arrête d'essayer désespérément de faire rejoindre les deux chairs, tu es pathétique. Tu me fais pitié. Petite idiote, c'est bien fait pour toi, la prochaine fois tu te contrôleras. Tu es folle. Follement idiote aussi. Alors continue à te haïr, tu as de quoi. La petite idiote voudrait mourir ? Et bien crève, vas y ! De toute façon il n'y a plus rien a espérer de toi. Tu es finie. PAN ! Game over, vous avez perdu.